Monsieur KOULA
Expert du droit international économique, du numérique et de la régulation des systèmes d’intelligence artificielle (IA)
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Titulaire d’un doctorat en droit public de l’Université de Bordeaux, il a consacré sa thèse aux questions de droit international économique, avec un accent particulier sur les traités régionaux africains d’investissement. Il a poursuivi sa carrière académique en tant que chercheur associé au Laboratoire « Les Afriques dans le Monde » (LAM – Sciences Po Bordeaux), période au cours de laquelle il a développé un intérêt marqué pour le secteur du numérique. Cet intérêt s’est ensuite concrétisé par l’obtention de certifications, notamment en Éthique de l’IA (Polytechnique de Milan), en Droit et IA (Université de Lund) et en Protection des données (Institut National des Sciences Appliquées – INSA).
Désireux de mettre ses connaissances au service de projets concrets, Monsieur KOULA s’est tourné vers l’entrepreneuriat, co-fondant des entreprises dans des domaines tels que les relations d’affaires Afrique-diaspora, la programmation informatique et le management des systèmes d’intelligence artificielle. Au sein de ces entreprises, il assume également les fonctions de responsable de la conformité IA et de responsable de la stratégie juridique IA. Face aux dynamiques de régulation des systèmes d’IA, telles que l’IA Act en Europe, et aux tensions qu’elles génèrent entre les opérateurs d’IA et les juristes-régulateurs, Monsieur KOULA a identifié un besoin crucial de vulgarisation des questions liées à la régulation des IA afin de combler le fossé entre ces deux univers. Fort de sa double compétence, juridique et technique, il propose, en tant que consultant et formateur, une variété de services destinés aux professionnels et au grand public pour faciliter la compréhension de l’encadrement juridique des systèmes d’IA et leur mise en conformité.
Monsieur KOULA représente donc un atout précieux pour anticiper et relever les défis posés par la régulation des systèmes d’intelligence artificielle, tant en Europe qu’à l’échelle mondiale, ainsi que par les enjeux de sécurité juridique liés aux investissements en Afrique.